Oyez oyez ! De jour comme de nuit rien n'est plus sûr, citoyens rangez vos bourses, fermez vos portes, surveillez vos femmes... Vos hommes....
Craignez les ombres, discrètes, futiles et fugaces, ancienne confrérie, ne croisez pas leur chemin...
Rappelez vous... Cela tremblait dans vos chaumières... Rappelez vous... Au fond d'une calle vous subissiez nos tortures perverses....
Oyez oyez mâles impies, au détour d'une rue, un regard charmeur, un sourire traître et en moins d'une seconde ! Vous étiez détroussé comme un débutant...
Méfiez vous ! Notre ordre est de retour, nos caisses sont vides, et vos richesses nous attirent... Vos richesses et vos vies, seront bientôt nôtres !
signé : O.A.N.